La psychanalyse n’est pas morte. Elle évolue.
Depuis plus d’un siècle, la psychanalyse fait débat. Certains la critiquent, la déclarent dépassée, figée, voire inefficace.
Mais comme le disait Freud, "la nouvelle de sa mort est fort exagérée".
Car la psychanalyse continue de vivre, de s’adapter, d’évoluer. Et surtout, elle continue d’apporter des réponses profondes à celles et ceux qui cherchent à comprendre ce qui les habite.
La psychanalyse invite à plonger dans ce qui dérange, ce qui se répète, ce qui fait souffrir.
Ce n’est pas une confession, ni un dialogue ordinaire. C’est un travail sur soi, accompagné, non jugeant ni culpabilisant, encadré par une méthode.
À travers les associations libres, la parole se délie, les émotions enfouies ressurgissent, les prises de conscience émergent. Ce que Freud appelait l’"abréaction" : ce moment où la parole retrouve sa force transformatrice.
Ma pratique s’inscrit dans une tradition freudienne assumée, mais adaptée à notre époque.
Je défends une psychanalyse active, incarnée, tournée vers le mieux-être. Cela signifie :
Trop souvent, la psychanalyse est réduite à des clichés : le complexe d’Œdipe, le divan muet, les cures interminables.
Or, Freud lui-même était dans une constante remise en question.
La psychanalyse n’est pas une discipline fermée : c’est un chemin clinique, intellectuel, éthique — et profondément humain.
La psychanalyse s’adresse à toute personne qui ressent un mal-être, des blocages, des répétitions de vie, un vide difficile à nommer…
Elle ne guérit pas tout, mais elle permet de mettre en lumière ce qui agit en silence, pour enfin retrouver une liberté intérieure.
Mon engagement, c’est de vous accompagner vers des effets concrets : un apaisement émotionnel, une meilleure connaissance de soi, une capacité à agir différemment.
Il ne s’agit pas de s’installer dans le symptôme, mais d’en sortir.
La psychanalyse n’est pas là pour durer une vie — elle est là pour changer la vôtre !